La GUEULE DE BOIS, c’est quoi au juste ?

L’expression  populaire et imagée  « avoir la gueule de bois »  viendrait du fait d’avoir la bouche pâteuse et sèche comme du bois, au lendemain d’une soirée alcoolisée.   Le  veisalgie est le terme médical pour designer la « gueule de bois ». Appelée « veisalgie » (du norvégien kveis (inconfort qui suit la débauche) et du grec algia (douleur) ou selon le terme scientifique  « xylostomiase »  (du grec xúlon « bois » et, stóma « bouche »), la gueule de bois est un ensemble de symptômes désagréables, voire douloureux au lendemain d’une consommation d’alcool.

La « gueule de bois » est un trouble complexe et lié à différents facteurs. Ce phénomène est assez peu documenté. Si la littérature scientifique sur l’alcool et les répercussions de la consommation d’alcool sur la santé est importante, les études scientifiques sur la « gueule de bois » sont proportionnellement peu nombreuses. Si les études scientifiques se sont parfois contredites par le passé, la recherche sur le sujet a beaucoup progressé ces vingt dernières années. Le processus chimique dans le corps est aujourd’hui mieux connu. Reste aujourd’hui à déterminer quels symptômes relèvent ou non de la gueule de bois, certains étant considérés comme simplement psychologiques et non physiologiques.

Ce phénomène n’est pourtant pas récent. En 1768, l’écrivain britannique William Hichey décrivait clairement les troubles ressentis au lendemain d’une alcoolisation importante.

Qu’est-ce que la « gueule de bois » ?

La “gueule de bois” est un ensemble de troubles apparaissant après avoir ingéré une quantité importante d’alcool. Ces symptômes sont consécutifs à une intoxication alcoolique.

Les symptômes d’une « gueule de bois » apparaissent plusieurs heures après une consommation d’alcool. Ils surviennent quand la concentration d’alcool dans le sang baisse, avec un point culminant lors que le taux d’alcoolémie sera à zéro.

Ces symptômes peuvent être différents et d’intensité variable selon les individus. 75% des personnes ayant consommé de l’alcool auraient au moins deux symptômes caractérisant la « gueule de bois », alors que 25 %  de la population  ne feraient pas l’expérience douloureuse d’une veisalgie (l’explication serait génétique).

La liste des symptômes de la « gueule de bois » est longue, les plus incommodants et désagréables étant les maux de tête, maux de ventre,  nausées, vomissement & diarrhée.

Ses manifestations sont diverses : symptômes nociceptifs (douleurs musculaires, crampes), activité accrue du système nerveux sympathique (tachycardie, augmentation de la pression artérielle, sueurs,..), symptômes sensoriperceptifs (hypersensibilité à la lumière, aux sons), perturbation du sommeil, réduction de l’attention et de la concentration…..Ces symptômes et leur intensité varient selon les personnes, leurs habitudes de consommation,  le type d’alcool et la quantité ingurgitée.

 

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La GUEULE DE BOIS, c’est quoi au juste ?

L’expression  populaire et imagée  « avoir la gueule de bois »  viendrait du fait d’avoir la bouche pâteuse et sèche comme du bois, au lendemain d’une soirée alcoolisée.   Le  veisalgie est le terme médical pour designer la « gueule de bois ». Appelée « veisalgie » (du norvégien kveis (inconfort qui suit la débauche) et du grec algia (douleur) ou selon le terme scientifique  « xylostomiase »  (du grec xúlon « bois » et, stóma « bouche »), la gueule de bois est un ensemble de symptômes désagréables, voire douloureux au lendemain d’une consommation d’alcool.

La « gueule de bois » est un trouble complexe et lié à différents facteurs. Ce phénomène est assez peu documenté. Si la littérature scientifique sur l’alcool et les répercussions de la consommation d’alcool sur la santé est importante, les études scientifiques sur la « gueule de bois » sont proportionnellement peu nombreuses. Si les études scientifiques se sont parfois contredites par le passé, la recherche sur le sujet a beaucoup progressé ces vingt dernières années. Le processus chimique dans le corps est aujourd’hui mieux connu. Reste aujourd’hui à déterminer quels symptômes relèvent ou non de la gueule de bois, certains étant considérés comme simplement psychologiques et non physiologiques.

Ce phénomène n’est pourtant pas récent. En 1768, l’écrivain britannique William Hichey décrivait clairement les troubles ressentis au lendemain d’une alcoolisation importante.

Qu’est-ce que la « gueule de bois » ?

La “gueule de bois” est un ensemble de troubles apparaissant après avoir ingéré une quantité importante d’alcool. Ces symptômes sont consécutifs à une intoxication alcoolique.

Les symptômes d’une « gueule de bois » apparaissent plusieurs heures après une consommation d’alcool. Ils surviennent quand la concentration d’alcool dans le sang baisse, avec un point culminant lors que le taux d’alcoolémie sera à zéro.

Ces symptômes peuvent être différents et d’intensité variable selon les individus. 75% des personnes ayant consommé de l’alcool auraient au moins deux symptômes caractérisant la « gueule de bois », alors que 25 %  de la population  ne feraient pas l’expérience douloureuse d’une veisalgie (l’explication serait génétique).

La liste des symptômes de la « gueule de bois » est longue, les plus incommodants et désagréables étant les maux de tête, maux de ventre,  nausées, vomissement & diarrhée.

Ses manifestations sont diverses : symptômes nociceptifs (douleurs musculaires, crampes), activité accrue du système nerveux sympathique (tachycardie, augmentation de la pression artérielle, sueurs,..), symptômes sensoriperceptifs (hypersensibilité à la lumière, aux sons), perturbation du sommeil, réduction de l’attention et de la concentration…..Ces symptômes et leur intensité varient selon les personnes, leurs habitudes de consommation,  le type d’alcool et la quantité ingurgitée.

 

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